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Accueil Actualité des célibataires

Qui est le célibataire d'aujourd'hui ?

Le célibat touche toutes les catégories de personnes, à tout âge et de nimporte quelle catégorie socioprofessionnelle.

Mais il existe plusieurs critères de célibataires ou de « solos » (comme on aime les nommer de nos jours).
Tout d’abord, il y a le célibat consenti : ce sont les personnes qui ont décidé de vivre seules, l’assument et en profitent.

Puis il y a le célibat subi : les séparés, divorcés, veufs, les frustrés, les dégoutés … De toute manière, voulue ou subie, la vie en solo n'exclut pas le désir de rencontre dont les différents modes, de plus en plus sophistiqués et dans l'air du temps, s'adaptent à toutes les demandes et repoussent les limites de la séduction.

 

Les moins de trente ans représentent la catégorie qui contient le plus de solitaires. Généralement, ce sont les femmes qui choisissent le plus souvent de vivre en solo.
Elles sont de plus en plus nombreuses à privilégier leur carrière professionnelle. En effet, entre le temps consacré aux études (longues dans la plupart des cas) et l’établissement d’une situation stable dans le métier, l’heure d’une recherche sentimentale est repoussée.

Mais lorsque le tintement de l’horloge hormonale bourdonne, on se hâte. Seulement, il n’est guère si facile de trouver chaussure à son pied ! Et ne souriez pas Messieurs car cette lubie n’est pas exclusivement féminine ! De plus en plus de personnes font passer leur vie professionnelle avant l’Amour.

L’accroissement le plus aigu du nombre de célibataires est attendu parmi les groupes de personnes d’âge moyen et de personnes âgées. Il s’agit surtout d’une augmentation du nombre de divorces et de décès. En effet, avec une constante augmentation de divorces, la catégorie des plus de 30 ans possède un pourcentage de solos qui croit au fil du temps. De plus, parmi les personnes âgées, le pourcentage de femmes célibataires est plus élevé que celui des hommes, ceux-ci mourant, en ce moment, plus jeune que celles-là. Cela s’explique par le fait que les femmes mariées sont en général un peu plus jeunes. A cela s’ajoute que les femmes vivent plus vieilles que les hommes : l’âge moyen de vie est actuellement de 76 ans pour les hommes et de 81 ans pour les femmes. A l’avenir, ce phénomène pourrait néanmoins s’affaiblir, parce qu’il y aura probablement plus d’hommes âgés que de femmes âgées célibataires. Ceci en raison de la prévision de l’accroissement de l’espérance de vie plus accentué parmi les hommes que parmi les femmes. Si tel était le cas, cela augmenterait la probabilité que les hommes survivront à leur femme. Et cela aurait comme autre conséquence que les femmes seraient veuves à un âge de plus en plus élevé.

 

Coachs de Séduction

Chercher chaussure à son pied, c’est quelque chose, mais savoir le faire, c’en est une autre ! Peur au ventre (douleur ou bruits étranges), bégaiements, maladresses gestuelles et orales sont les symptômes d’un manque de confiance en soi. Les grands timides et les maladroits savent de quoi il est question.
C’est pourquoi des professionnels de la séduction vous aident à palier ces troubles incommodants.

Les coachs

Ce sont des personnes qui vous aident à reprendre confiance en vos capacités.
Certains coachs proposent aussi le relooking. Bien que dans les mœurs, il est dit que l’apparence physique ne compte pas en matière de séduction, il s'avère que sur le terrain cette théorie est fausse mais bien entendu le physique ne fait pas tout.

Odile Lamourère : Coach pour solistes

Odile Lamourère a lancé le premier salon des célibataires en 1987 à Paris pendant 8 ans et a déjà écrit 12 livres pour les célibataires.
Par exemple, elle a écrit "Séduire une femme à coup sûr... : Et pour longtemps".
Elle est devenue coach pour solistes. Son site est le suivant :
celibinfos.monsite-orange.fr

 

Le sacerdoce du célibataire

Ils sont 6 millions en France. Dans les années 80, ils se croyaient libérés. Aujourd'hui, retour aux valeurs oblige, ils se sentent isolés. Enquête chez les solitaires qui ne voudraient plus l'être.

 

«Un mec, pour quoi faire?» demandaient, dans l'euphorie, les femmes libérées des années 80. «L'indépendance se portait alors en bannière, avec la réussite professionnelle», se rappelle Jean-Pierre Cantorné, directeur des études et de la recherche à l'agence FCB. La décennie 90, elle, joue profil bas. Hommes et femmes n'ont qu'une idée: se caser. Mais où sont donc passés les «célibattants»? Alors qu'on recense aujourd'hui 6 millions de solitaires, à temps partiel ou à temps complet, par obligation ou par conviction. Près de 8 millions, si l'on compte les familles monoparentales. Et la tendance ne fait que s'accentuer. Les divorces se multiplient, les foyers éclatent. Conséquence: le nombre des solos va crescendo...
Odile Lamourère, créatrice du Salon des célibataires - qui, les 19 et 20 mars, fêtera à Paris sa 7e édition - espère bien cette année redoper le moral des troupes. «Les célibataires, ce sont les mal-aimés de notre société», affirme-t-elle. Paranos, les solos? Les faits sont là. Qui verse le plus lourd tribut aux impôts? Qui paie les vacances au prix fort, pour cause de supplément «single»? Les cafetières deux tasses Philips, les minimachines à laver Kenwood, les petits plats individuels Findus ne suffisent pas à effacer les états d'âme... Amorce d'un courant favorable? En avril sera lancée la première Croisière des célibataires. En tout bien tout honneur. Son organisateur: l'Espace voyages Côte d'Azur, qui propose, au départ de Nice, une virée de cinq jours, via Capri, Taormina et Lipari. Conférences, débats et soirées dansantes à l'appui. «L'idée est née simplement, explique Christian Quiquerez, son initiateur. Il existe des lieux où se rencontrent les jeunes et le troisième âge. Entre les deux: le néant.» Que reste-t-il si l'on ne possède ni le savoir-faire d'un nightclubber ni le goût des agences matrimoniales, classées X?... Le groupe Lucien Barrière pourrait bien, lui aussi, entrer dans la danse des esseulés, avec une formule de week-end prolongé à Cannes. Thalasso, excursion, soirées casino et karaoké. Car il n'existe qu'un moyen pour faire sortir les ermites de leur tanière: l' «éclate», comme l'explique Didier Audebert, rédacteur en chef de «Tête à tête», le nouveau - et unique - magazine du «célibat dans tous ses états». Ni intello ni Minitel rose, plutôt tendance bons plans et carnet d'adresses bétonné, «Tête à tête» organise même des fêtes, comme celle de la Saint-Valentin, qui a réuni 2 000 personnes à la Locomotive. Conformément à la «ligne éditoriale» du journal: dédramatiser, pour éviter les ghettos...
Ghetto, le mot est prononcé. «Avec la crise, le sida, le cocooning, les années 90 marquent le retour aux valeurs, la famille et le couple», note Jean-Pierre Cantorné. Résultat: les célibataires culpabilisent et rentrent dans leur coquille. Une chose est sûre: ils dérangent. L'actuelle campagne publicitaire Bolino est exemplaire. Les spots télévisés mettent en scène une femme pressée, un PDG affairé, un gamin captivé par sa console électronique, à grand renfort de riz à l'espagnole et de hachis Parmentier. Nulle allusion à la vie en solo. «Parce que ces repas sur le pouce s'adressent à tout le monde», plaide Cécile Pichou, chef de produit. Peut-être aussi parce que le célibat renvoie l'image de la solitude et que la solitude ne fait pas vendre... Lors du Salon, Odile Lamourère essaiera donc, malgré tout, de regonfler les coeurs. Les exposants: des clubs de loisirs et des conseillers en tout genre - du look au développement personnel - en passant par l'association Aides et des groupes de défense des droits des célibataires... Sont aussi programmés des conférences-débats et des jeux pour faire sourire les plus récalcitrants. En conclusion, une grande fête. Cela s'impose.

Salon des célibataires, hôtel Ambassador, 16, bd Haussmann, Paris-IXe. Rens.: 36.15, Celib. La Croisière des célibataires, 21-25 avril, tél.: (16) 93.16.04.30.

 

MEZERIAT 2010, SALON OU FOIRE AUX CELIBATAIRES

article presse foire du avril 2010 mezeriat

 

Pierre Python : « 600 cœurs à prendre à la foire du célibataire »

Rencontre avec Pierre Python, organisateur de la foire du célibataire de Mézériat

Combien de célibataires, demain, à Mézériat ?

Plus de 600 je pense. 600 cœurs à prendre ! Après l'émission de M6 (NDLR : le 30 mai, « Zone interdite »), les gens ont appelé d'un peu partout.

Certains vont faire plus de 500 kilomètres pour venir. De tous nos salons, Mézériat est celui où il y a le plus de monde. Cela s'explique par la position géographique mais aussi par le bouche à oreille, via les couples qui se sont formés ici.

En dix éditions, combien en avez-vous « mariés » ?

Franchement, je ne sais pas. Un tel sondage nécessiterait un mois de travail. Je peux dire que je connais des couples installés à Lons, Bourg, Salins, Besançon...

C'est un suivi informel. Certains reviennent fêter leur union là où ils se sont rencontrés. Et je reçois beaucoup de courriers.

Quel est le sexe du célibataire ?

Ca dépend des éditions. En 2009 à Mézériat, il y avait plus de femmes que d'hommes. Parfois c'est l'inverse. Cette année à Arc-sur-Senans, j'ai recensé 35 % d'hommes pour 65 % de femmes. À noter que peu de couples sont restés ensemble après cette soirée.

L'âge du célibataire ?

L'après-midi, on trouve une majorité de 35-45 ans qui veulent refaire leur vie. Le soir au bal, débarquent de jeunes aventuriers qui viennent pour s'amuser et lier connaissance pour un soir. Mais il n'y a pas d'âge pour cela. A Arc, j'ai rencontré une dame de 75 ans qui se plaignait de ne pas trouver d'hommes de sa génération !

Propos recueillis

par Marc D

Note

Foire du célibataire organisée par l'association humanitaire Cœurs liés.

Demain samedi à la salle des fêtes de Mézériat à partir

de 14 heures.

Dîner à 20 h 30 suivi d'un bal.

13 euros pour les filles, 16 euros pour les garçons. 20 euros le dîner dansant. Inscriptions et

 

L' ENTREMETTEUR MADE IN JURA

article presse foire du 02 octobre 2010

Pierre Python. Il organise une foire aux célibataires à Nuits-Saint-Georges le 2 octobre.

L’entremetteur made in Jura

 

Le Lédonien Pierre Python joue au Cupidon dans les départements limitrophes du Jura. Photo J.B.

Les Grecs de l’antiquité avaient Éros, les Romains Cupidon. Plus contemporain, Côte-d’Oriens, Saône-et-Loiriens, habitants des pays de l’Ain, Jurassiens ou encore Doubistes ont désormais Pierre Python. Moins poétique diront certains, preuve qu’ils ne l’ont pas écouté. À 37 ans, débardeur, pantacourt et petites dreadlocks, le Lédonien a le verbe fleuri, de la conversation, un rire pour le moins communicatif.

Dans ses outils de travail, aucune trace de flèches ni de quelconque carquois d’or. Il a préféré leur substituer des monceaux de tracts et un véhicule utilitaire. Depuis la préfecture jurassienne, il sillonne les départements limitrophes où il distribue ses prospectus pour vanter les foires aux célibataires qu’il organise avec l’association dont il est le seul salarié.

Au pays d’un célèbre bovin hilare, effigie d’un non moins célèbre fromage fondu, l’homme n’a pourtant pas choisi de faire dans l’amour vache. Il a choisi le vrai, celui qui réunit ceux qui se sentent seuls. Et voila sept ans que ça dure. Lui a d’ailleurs trouvé sa moitié et est père de deux enfants.

Un homme de contact

Auparavant, le trentenaire travaillait pour une autre association organisatrice de festivals et de marchés africains. Le virage s’amorce chez lui, à Lons-le-Saunier. « Avec un groupe d’amis célibataires, on est allé à une foire ici. C’était nul, il y avait peu de monde et beaucoup de personnes du troisième âge. On a décidé d’en faire une. » Quelque chose de plus dynamique, qui attirerait les jeunes, mais aussi les autres générations, avec des moyens modernes pour faire de la publicité.

Dans son appartement, au deuxième étage d’un immeuble lédonien, l’homme coupe sa musique ensoleillée pour mieux se raconter, en totale décontraction. Comme il veut que ses foires se déroulent. « Ça doit être convivial. Même si quelqu’un ne trouve personne, il faut qu’il se dise “Pas grave, je me suis bien amusé quand même”. » Après tout, l’un des buts de l’association Cœur liés n’est-il pas de rassembler les célibataires de France pour les aider à sortir de la solitude ?

L’ancien technico-commercial est un homme de contact. Les rencontres par Internet ? « Il faut mettre un an pour voir quelqu’un pour être finalement déçu, voir que la photo ne correspondait pas… » Et il est vrai qu’une rencontre les yeux dans les yeux a plus d’allure qu’une autre les yeux dans la webcam.

« Ce qui me plaît lors des foires, c’est de voir les gens chasser. Et bien sûr, quand des couples se forment, ça me fait plaisir. Peu importe le temps que ça durera, si les gens sont heureux. » Il garde d’ailleurs précieusement les lettres que des couples formés au cours de ses manifestations ont bien voulu lui envoyer, photos jointes pour certains.

L’autre facette : le parrainage d’orphelins

Ses activités lui ont même valu un reportage diffusé en mai dernier sur M6, dans l’émission Zone interdite. « Ça rassure les gens, ils voient ce qu’on sait faire. Mais c’est dommage, ils n’ont pas parlé de notre autre activité. »

Cette autre activité, Pierre Python y tient tout autant. Une partie des foires y est d’ailleurs consacrée. Il s’agit de parrainages de jeunes orphelins camerounais – son pays d’origine – par le biais de dons visant soit à payer l’école et les fournitures scolaires pendant une année, soit deux repas par jour pendant la même période. « Chaque parrainage est un grand bonheur, je sais que certains jeunes n’ont pas pu aller à l’école à la rentrée. »

Le 2 octobre, l’équipe de son association sera à Nuits-Saint-Georges. Pierre y attend 800 personnes. Voila une quarantaine de jours qu’il œuvre pour y attirer le plus grand nombre ; et sans compter les kilomètres. Dijon, Beaune, Chagny ou encore Verdun-sur-le-Doubs, sur sa carte routière, ses zones de tractage sont entourées au stylo-bille. 40 000 flyers y ont été distribués. Ne reste plus qu’à attendre le jour J pour permettre « aux gens timides, qui travaillent beaucoup… de faire le bon choix ». « Pour ceux qui veulent quelque chose de sérieux, il faudra peut-être plusieurs contacts, plusieurs foires, pour chasser doucement… Pour d’autres, ça rompt la solitude. Et trouver quelqu’un, même pour une heure, un peu d’affection ne fait jamais de mal. »

Pour les derniers, ce sera toujours l’occasion de faire la foire.

Johan Bozon

12 e foire nationale du célibataire, samedi 2 octobre à partir de 14 heures, à Nuits-Saint-Georges. Tél. 06.23.67.56.28 ou 06.64.70.28.71. www.foire-celibataires.com/

 

L'amour, c'est dans la tête

Il ne nous faut qu'un cinquième de seconde pour tomber amoureux.

Dans le monde anglo-saxon, on utilise l'expression «losing your heart to someone» pour parler du sentiment amoureux. En France, l'amour est plus intellectuel: on ne perd pas le coeur, mais la tête pour quelqu'un. Et la science semble nous donner raison.

D'après une étude, menée par Stephanie Ortigue, de la Syracuse University, non seulement tomber amoureux provoque une sensation d'euphorie comparable à celle suscitée par la cocaïne, mais l'amour serait lié à des parties du cerveau. Et, encore plus étonnant, explique le Times of India, il ne nous faut qu'un cinquième de seconde pour tomber amoureux.

Les recherches de Stephanie Ortigue prouvent que, quand on tombe amoureux, ce sont 12 parties du cerveau qui travaillent ensemble pour libérer des substances qui induisent l'euphorie comme la dopamine, l'ocytocine ou l'adrénaline.

L'amour aurait aussi des effets sur les fonctions cognitives, notamment sur les représentations mentales et le langage du corps.

Cette découverte pourrait être très importante pour les neurosciences et la recherche sur la santé mentale, explique Science 2.0: les problèmes dans la relation amoureuse pourraient être liés au stress et à la dépression. Du coup, en identifiant les parties du cerveau stimulées en amour, les docteurs pourront mieux comprendre la souffrance des malades d'amour, et les aider à apaiser leurs peines. «Si on comprend pourquoi ils tombent amoureux et pourquoi ils souffrent autant, on pourra utiliser de nouvelles thérapies», exlique Stephanie Ortiga.

L'étude révèle aussi qu'à différents types d'amours correspondent différentes parties du cerveau: ainsi l'amour inconditionnel, comme celui de la mère pour son enfant, et l'amour passionnel ne sont pas déclenchés par la même zone du cerveau.

Mais les romantiques ne doivent pas pour autant désespérer. A la question: est-ce qu'on tombe amoureux avec la tête, ou avec le coeur, voici ce que répond StephanieOrtiga:


«C'est une question difficile. Je dirais la tête, mais le coeur aussi a son rôle puisque le concept d'amour, très compliqué, est formé par les deux processus qui du cerveau vont au coeur et vice-versa. L'activation de certaines zones du cerveau peut stimuler le coeur, et provoquer par exemple les fameux "papillons d«C'est une question difficile. Je dirais la tête, mais le coeur aussi a son rôle puisque le concept d'amour, très compliqué, est formé par les deux processus qui du cerveau vont au coeur et vice-versa. L'activation de certaines zones du cerveau peut stimuler le coeur, et provoquer par exemple les fameux "papillons dans l'estomac".»
 

La Foire aux célibataires samedi 02 octobre 2010 à Nuits Saint Georges

Cela devient une habitude. La patrie de Félix Tisserand accueille, le  samedi 02 octobre 2010 , la 12e Foire nationale du célibataire à la salle des fêtes de Nuits-Saint-Georges.

« La Foire nationale du célibataire se veut être un espace dédié aux célibataires, quels que soient leur âge, leur milieu, leur niveau de vie », précisent les organisateurs. L'accueil est assuré à partir de 14 heures.

Au programme, « animations de rencontres, speed-dating, ambiance musique, dîner du célibataire » de 20 h 30 à 22 h 30 avant le traditionnel bal des célibataires. L'organisation est assurée par l'association cœurs liés. Le prix de l'entrée est de 13 euros pour les femmes et de 16 euros pour les hommes.

« Même si les rencontres s'avèrent provisoires, cela marche plutôt bien », affirment les organisateurs.

« 12ème foire nationale du célibataire », samedi 02 octobre à partir de 14h, à NUITS SAINT GEORGES : 21, côte d' or (à la maison de nuits saint georges). Entrée 13€ pour les femmes ; 16€ pour hommes (animation de 14h à 22h, bal du soir, et consultation fichier célibataires,repas non compris =pas besoin de réserver). 20€ repas du soir=attention nombre de couverts limités à 300. réservez-vite.Bal du célibataire à 22h 30.N.B.à partir de 20h les places assises sont réservées à ceux qui vont dîner sur place.

une réunion de 800 célibataires unique en france qui a fait l'object d'une émission à la télé: M6 zone interdite en date du dimanche 30 mai 2010.
Le concept a fait ses preuves ,le bilan des onze précédentes éditions montre bien que les gens sont satisfaits et certains reviennent d'année en année ,ce qui ressort de leur expérience est souvent la convivialité ,et l'ambiance crée par ces 800 personnes seules !

Vous pouvez venir pour vous même, ou pour représenter une autre personne car, le miracle de la rencontre peut se faire aussi par procuration : dans ce cas se munir de la photo de la personne que l'on représente.

NOUVEAU!

Nous pouvons mettre votre profil à disposition de nos célibataires le jour de la manifestation si vous ne pouvez pas y participer. Ainsi la personne qui s’intéresse à vous pourra directement vous contacter après le salon.

C’est  simple il suffit de remplir une fiche informative et de nous la renvoyer avec deux photos (une entière et un portrait). Merci de nous contacter pour obtenir cette fiche.

 TROIS EVENEMENT EN UN

Lors de ce salon on distingue trois ambiance:
-l'après midi :
idéale pour les timides ,nos animateurs font le premier pas pour vous ,l'après midi est placé sous le signe de la découverte
-le repas:
lors du repas les connaissances vont bon train ,les connaissances de l'après midi se confirment et l'arrivée de nouveaux participants rend la soirée plus intense
pendant le repas les conversations ,les connaissances vont bon train
-le bal:
Lors de la soirée dansante ,c'est une toute autre ambiance qui prend place puisque la bonne humeur des participants est a son comble ,la musique ,la danse et le bar rapprochent tous nos participants qui deviennent pour l'occasion tous de joyeux fetards!

Programme du samedi02 octobre  2010

- A partir de 14h - Accueil ; - A partir de 15h : - Animation de rencontre, nombreuses animations, Slow-dantint, Speed-dating, ambiance musique.

- 20h30 - Dîner du célibataire, 22h30 – Bal des célibataires

Renseignement : Association coeurs liés chez Python pierre
27 avenue Henri Grenat 39000 Lons Le Saunier. Tel 06 23 67 56 28 – 06 64 70 28 71

E-mail : coeurslies25@yahoo.fr
Cet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir

Site Internet : www.foire-celibataire.com

POUR CONFIRMER VOTRE RESERVATION, MERCI D'ENVOYER VOTRE REGLEMENT PAR CHEQUE A L 'ORDRE DE L' ASSOCIATION COEURS LIES  CHEZ MR PYTHON AU 27 AVENUE HENRI GRENAT 39000 LONS LE SAUNIER
 

mézériat / salon rencontre célibataires aujourd'hui

http://www.leprogres.fr/fr/permalien/article/1737290/L-amour-a-tout-prix.html

 

L'amour à tout prix

 

Pour rompre sa solitude, vaincre sa timidité ou passer un moment, pour trouver l'âme sœur ou un petit câlin. Pourquoi chacun cherche chacune et réciproquement…

 « Aller à la foire aux célibataires ? Pourquoi pas ? »

Antoine Hénard, 24 ans, Bourg-en-bresse

Taxi-vélo, célibataire

« J'ai déjà entendu parler de foires aux célibataires, je n'y ai pas encore mis les pieds. Pourquoi pas ? Rien que pour voir… La solitude, ça devient pesant et agaçant.

J'ai déjà rencontré des filles mais ça n'a jamais duré longtemps. J'ai l'impression qu'elles se défilent.

Peut-être que ça vient de moi, de cette timidité à l'intérieur de moi. »

« Oui, mais alors pas toute seule »

Cécile Grivelet, 24 ans, Péronnas

Barmaid, séparée

« Je vis seule avec ma petite fille de trois ans. Ça change tout ! Oui, la solitude me pèse. Il manque les bras d'un père. Je recherche quelqu'un mais pas plus que ça. La foire aux célibataires, j'irais peut-être mais pas toute seule, le fait d'être maman… Les gens sont pris par le temps, timides. Là, ils savent qu'ils peuvent se rencontrer sans peur de se prendre un « râteau ». Au fait, c'est quand ? »

« Je suis pour à 300 %, mais ça fait un peu cher »

Danuta Mazurczak, 24 ans, Bourg

Barmaid, « fiancée »

« Je suis pour à 300 %, la première à dire « allez-y ! » On devient de plus en plus antisociaux. On a besoin d'initiatives comme ça. Moi, j'aime aller vers les gens. J'étais inscrite à Meetic et sur pas mal de sites. Si j'étais célibataire, j'irais sans problème, faire connaissance et qui sait, trouver l'âme sœur. Sauf que 33 euros, ça fait un peu cher pour trouver l'âme sœur ! »

Pour toujours ou pour un jour, ils seront pas loin de 500 (250 X 2) à quêter l'amour aujourd'hui à la 8e foire aux célibataires de Mézériat. Préliminaires dès 14 heures à la salle des fêtes. Chacun, chacune remplit une fiche où il (elle) décrit le sujet de ses désirs. Les cartons sont affichés sur le mur. Chacun, chacune épingle le numéro sur son plastron et guette l'âme sœur, ou la bonne aventure. Qui peut se présenter sous forme de billets doux (à l'ancienne), SMS (moderne), rendez-vous « speed dating » (pressé) ou « slow dating » joue contre joue (câlin).

En théorie, tout est calé pour le repas du soir, le bal et plus si affinités. La rencontre proprement dite se déroule de 14 heures à 21 heures et coûte la bagatelle de 13 euros. 33 avec le dîner (20 heures, sur réservations) et le bal jusqu'au petit matin. Un peu cher pour certain(e)s, mais il est vrai que l'amour n'a pas de prix.

Quant à savoir s'ils se marient et ont beaucoup d'enfants, l'organisateur Pierre Python ne tient pas de statistiques. « On sait à travers les courriers que de nombreux couples se forment sur ces salons. Après, dire combien, ce qu'ils deviennent, qui est blanc, qui est noir, hétéro ou homo… On n'a jamais fait d'études ».

La foire n'a rien de l'agence matrimoniale. « Ce n'est pas le même boulot. On n'est pas habilités à accompagner les personnes. Tout se passe pendant le salon.

Avec les agences, on est plus complémentaires. Plusieurs d'entre elles nous laissent des « flys ».

Pas dit d'ailleurs que les célibataires ont l'intention de se passer la bague au doigt. Certain(e)s souhaitent simplement rompre leur solitude, vaincre leur timidité, assuré(e)s qu'ils sont de ne pas « se prendre un râteau » selon l'expression de Cécile (lire par ailleurs). D'autres se déplacent en bandes, « pour voir », « rencontrer des gens », « passer une bonne soirée », « rigoler un peu ». Et puis viennent les chasseurs, majoritairement mâles, ceux qui courent tous les salons en ne pensant qu'à ça.

Mètre-étalon ? « En général, ceux qui cherchent une aventure sans lendemain s'inscrivent directement au bal. Dans l'Ain, il y a moins de rigolos et plus de couples qui se forment ». S'il fallait un chiffre précis, ce serait celui du dernier salon de Salins qui a réuni 497 célibataires. Si la parité est respectée, il y en a forcément un(e) de déçu(e).

Marc Dazy

> NOTE

Renseignements au 06 23 76 56 28 ou au 06 64 70 28 71.

www.blacanwite.com.

« Je suis un chasseur, un coureur. Comme Marathon man, j'ai plutôt bonne réputation »

Sébastien Piquerey,

42 ans, citoyen du monde

« Je connais très bien les foires aux célibataires, je les fais toutes ! Je suis un chasseur, un coureur. Comme « Marathon man », j'ai plutôt bonne réputation ! Avant, j'étais commercial, dans la compétitivité. J'ai été marié à une très jolie femme, divorcé. À chaque fois, on y laisse une part de soi-même. Un jour, j'ai tout liquidé. Je vis de trois fois rien. Je me partage entre Bourg et le Cameroun. Sans frontières. Je profite de la vie. Dans l'amour, ce qui m'intéresse, c'est le début. La fin est toujours moche. Dans les foires aux célibataires, je suis sûr de trouver des femmes en détresse. Je n'ai jamais de problèmes parce que je les respecte, à partir du moment où je ne mens pas. C'est le mensonge qui tue les couples. »

« Je l'ai rencontrée au salon de Crottet l'an dernier. On pense se marier l'année prochaine »

Michel Lebon, 35 ans, Oyonnax

Moquettiste, en couple

« J'ai rencontré Audrey au salon de Crottet l'an dernier. Des salons, j'en ai fait plein, sans chercher vraiment. Comme je suis bénévole dans l'association Black and White, je me suis inscrit. J'ai repéré Audrey un peu au hasard. Ça a tout de suite accroché. Depuis, on vit ensemble. On pense se marier en 2010. »

Humanitaire et rémunérateur

« Association à but humanitaire » précise Pierre Python, son fondateur depuis 1999. « Je viens du Cameroun. Là-bas, si tu es malade et sans argent, tu restes à la porte de l'hôpital. Black and White prend en charge un certain nombre d'assistances médicales ». D'après le bilan 2008, 8 000 euros ont été envoyés du siège social de Lons au relais de Yaoundé. Budget financé en grande partie par les célibataires. « On trouvait l'idée amusante. Quand on a organisé le premier salon, on s'est rendu compte de la demande. Trouver l'amour, c'est un peu humanitaire, non ? » Rémunérateur aussi. Avec sept permanents et une trentaine de bénévoles, Black and White organise trois foires par an : Salins-les-Bains (39) le 25 avril, Mézériat le 27 juin, Nuits-Saint-Georges (21) le 26 septembre. Dans l'Ain, l'événement se déroulait traditionnellement à Crottet, avant que la salle ne brûle d'un incendie moins romantique que les feux de l'amour

 

Doubs : à la fête des célibataires

Arc-et-Senans accueillait hier la « 10e foire nationale du célibataire ». Première approche timide à la salle des fêtes.

 

« Y'a pas beaucoup de filles, c'est de la pub mensongère ! ». Hé, ho, doucement, on se calme. À 15 h, hier, c'était déjà la queue devant la salle des fêtes d'Arc-et-Senans. « 10e Foire nationale du célibataire », le titre laisse un peu perplexe. Vous venez de loin messieurs ? « De Lons-le-Saunier ». Ah quand même. « J'en vois pas, des filles, on ne va pas payer ». Mais si, 13 euros pour les femmes, 16 pour les hommes. « Ils n'ont peut-être pas fait assez de démarchage, ou les filles ont peur de venir, elles préfèrent pleurer dans leur coin. »
Doucement, la salle se remplit. Des hommes mâchent des chewing-gums, style à l'aise Blaise. « Y a un problème avec les toilettes, c'est marqué femmes sur les deux ». Pierre Python, l'organisateur, file régler le problème : « Les hommes, c'est par là, non pardon par là, les hommes doivent sortir ».
Chaque participant s'inscrit et reçoit un numéro qu'il accroche sur lui. Le téléphone de Pierre Python ne cesse de sonner : « Oui Madame, si vous venez, vous pourrez danser ».
L'après-midi commence tranquillement. On s'observe du coin de l'œil, autour de grandes tablées. Des assiettes en plastique blanc sont remplies de cacahuètes. Sourires discrets. Des conversations commencent à se nouer.
 

Les chasseurs et les timides


Plus tard, des animations seront organisées, avant le repas, et la soirée dansante. M6 est là avec sa caméra mais tout le monde ne souhaite pas forcément apparaître à l'image. Les gaillards à l'entrée ne veulent pas dire leur nom. « C'est top secret, on a des jobs, attention ! ». Ah bon, riches avec cela, intéressant.
« Mesdames, vous avez des messages dans la boîte, les numéros 7912, 7904, 7851, 7810, 7852... Allez, venez fouiller mesdames ». On dirait que les numéros hésitent un peu à se déplacer. Les animations évoluent-elles au fil du temps ? « Oui, on essaie de s'améliorer, c'est le bouche à oreille qui fonctionne, des gens qui se sont rencontrés recommandent à leurs amis de venir.
A Mezeriat, dans l'Ain, en 2009, il y avait plus de 700 personnes ». On raconte que certains sont tellement satisfaits qu'ils reviennent chaque année. « Ce sont les chasseurs mais il y a aussi les timides. On contacte les gens par internet, par SMS, une dame m'a répondu : merci, mais j'ai trouvé le bonheur le 27 juin dernier ».
Beaucoup espèrent l'approcher en ce 1er mai. Un groupe de copines se retrouve à l'entrée. Eh, les gars, v'là des filles ! Les lascars dûment numérotés sont déjà entrés. « Les oiseaux se sont mis à chanter » Claude et Charlise Martin sont un peu les mascottes de la foire du célibataire. « On s'est rencontrés à la foire de Crottet, dans l'Ain, le 28 juin 2008. C'est mieux que les agences matrimoniales, on fait des rencontres, si ça marche, ça marche, vous ne demandez pas quel âge on a ? ». Vous avez quel âge ? « Lui 57, moi 67 ». Claude Martin a un côté pratique : « On ne paye pas cher et il y a une bonne ambiance ». Sa femme ne tourne pas autour du pot : « C'est clair, les gens viennent avec la même intention. Lui, il a eu le coup de foudre ». Pour elle. « Raconte chéri, ne sois pas timide ». Il se souvient de sa demande en mariage : « C'était dans une forêt domaniale et des oiseaux se sont mis à chanter, je me suis dit, c'est bien, au moins il y en a qui écoutent ».

Michèle YAHYAOUI

 

Le salon des célibataires a fait des heureux

Ils étaient près de 500 prétendants en quête de l'âme sœur, ce samedi à Arc-et-Senans pour une dixième édition riche d'espérances


Le dixième salon des célibataires le 1er mai à la salle polyvalente d'Arc-et-Senans a tenu ses promesses en fréquentations. Vers minuit Pierre Python l'organisateur annonçait la présence d'environ 500 personnes.

C'est à 15 heures que la file d'attente commençait vraiment à se faire devant l'entrée de la salle. Certains, (es) attendaient « prudemment « sur le parking pour voir arriver et jauger les autres, avant de se décider à pénétrer dans « l'arène « Les hommes, de la vingtaine à la soixantaine, étaient en grand nombre, des habitués de la « drague « mais aussi des timides venus vraiment pour trouver l'âme sœur. Jean-Marie, la quarantaine, divorcé, est enseignant à Tavaux : « je suis venu à la découverte, pas forcément pour trouver, mais on ne sait jamais ». Robert, la cinquantaine, un gaillard venu de Saône-et-Loire, est un habitué. « J'ai amené un copain pour qu'il voit ce qu'est ce véritable marché « dit-il en montrant les fiches de la gente féminine apposées au mur.

Ces fiches que chacun(e) renseigne à son arrivée sont effectivement un problème. On ne veut y porter que le strict minimum, ne pas se dévoiler.

Beaucoup de réflexions ici et là, certaines censées, d'autres extravagantes, à la limite de la courtoisie.

Les animateurs appellent les participants (es) qui ont reçu un numéro à leur inscription. Ce numéro est apposé sur le vêtement de manière à été bien visible d'autrui. C'est le début du premier entretien qui durera cinq minutes.

Court pour une approche qui peut cependant se poursuivre à l'extérieur.

La caméra de M.6 est à l'affût. Peu de candidats à la vie de couple souhaitent apparaître sur la photo ou le petit écran. « Je ne serai pas dans le journal ? Cela pourrait me gêner dans ma vie et mon travail » dit cette dame.

Vers 23 h 30, à la fin de la finale de la coupe de France de football, beaucoup d'hommes sont à l'extérieur de la salle, tirant sur leur « clope « et maugréant quant au manque de femmes. À l'intérieur, le DJ a lancé la musique, des couples se sont formés.

Pour combien de temps ? Rendez-vous l'année prochaine pour le savoir